Témoignage d'Anna Gandler - Jonglage et biathlon
- Jerome Gori
- 24 déc. 2024
- 2 min de lecture
Il ne s'agit pas de réécrire l'article initial ou d'en faire un plagiat. Voici simplement la retranscription de l'article original publié sur le site nordicmag.info le 06/12/24 et écrit par écrit par Florian Burgaud : https://www.nordicmag.info/biathlon-ca-me-fait-du-bien-a-la-tete-anna-gandler-explique-pourquoi-elle-enchaine-les-sessions-de-jonglage-avant-ses-courses-de-coupe-du-monde-1206/

"Biathlon : Anna Gandler et le jonglage, une grande histoire d’amour
Depuis plusieurs hivers, il n’est pas rare de voir l’Autrichienne Anna Gandlersortir ses balles de jonglage sur les pas de tir de la coupe du monde de biathlon. Grande adepte de l’exercice, la biathlète de 23 ans aux 35 départs au plus haut niveau international n’hésite pas à enchaîner les séances lors de son échauffement."
"La séquence, d’ailleurs, est régulièrement filmée par les caméras de la réalisation internationale. Mais pourquoi diable Anna Gandler fait-elle cela ? « Pour activer mon cerveau, répond-elle à Nordic Magazine en ce début de saison. J’ai lu des études indiquant que cette activité permet de combiner les deux hémisphères du cerveau. »
Une activité cérébrale… et importante pour ne pas s’ennuyer avant le départ
Selon une étude menée par trois chercheurs de l’Université de Poznan (Pologne) – intitulée « Les effets du jonglage comme activité à double tâche sur la neuroplasticité humaine » – cette activité est effectivement synonyme de nombreux bienfaits.
Parmi ceux-ci, on trouve notamment la stimulation de l’interaction simultanée entre les deux hémisphères du cerveau grâce aux mouvements alternés-croisés, pour une meilleure analyse globale des situations et des émotions. Ce qui est un vrai plus pour une biathlète comme l’Autrichienne."
« Je jongle parce que ça me fait du bien à la tête et je le fais surtout quand je sens que je ne suis pas bien concentrée, reprend Anna Gandler, qui précise ne pas le faire lorsqu’elle est trop stressée. J’ai commencé cela il y a six ou sept ans et ça a super bien marché, donc je continue. Cela me permet aussi de ne pas m’ennuyer avant le départ. Dans la zone d’échauffement, parfois, tu ne sais pas trop quoi faire et ça permet de faire quelque chose, de bouger un petit peu et, ainsi, de me concentrer. »
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